Entre pratiques sportives ( rando alpinisme, escalade, VTT, spéléo...) et pratiques natures (photographie, voyages dans des zones de nature préservée et dans le monde des énergies...), je recherche avant tout le lien avec Dame Gaïa. Je ne cherche ni la performance ni la confrontation avec la nature, mais plus à la rejoindre, à vivre en harmonie avec elle.
Devenir guide, un rêve d'enfant ?
Depuis l'enfance, je rêve d'expédition dans le grand wild. Mon cheminement est une suite d'enchaînements logiques entre l'envie de me lier à la nature et de partager mes connaissances avec autrui.
Quelle est ton expédition la plus marquante ?
Difficile à dire! La Laponie, mon deuxième pays de cœur, pour la sensation avec la Nature ; et l’Himalaya pour les montagnes et les peuples bouddhistes.
Quelle a été ta plus belle rencontre ?
Les peuples de l'Himalaya.
Quelle a été ta plus belle rencontre ?
Les peuples de l'Himalaya.
Je ne peux pas vivre loin de la nature. J'y trouve un sens essentiel, surtout avec l'évolution de notre société actuelle.
Aimes-tu te fixer des défis toujours plus fous les uns que les autres ?
Des défis oui, mais pas dans une logique de performance ou de confrontation. Plutôt dans quelque chose qui me surprendrait dans ma relation au monde (humain ou nature). J'entends défis plus comme une sorte de curiosité envers quelque chose d'imprévu.
Quel est ton secret pour garder la forme ?
Je suis engagé dans une recherche d'interaction avec le monde des énergies depuis 20 ans. C'est une autre dimension de lien avec la vie. Qi qong, sylvothérapie et méditations me permettent d'avancer.
De quel objet ne te sépares-tu jamais ?
Un couteau et un appareil photo.
Quel est ton plat/repas préféré quand tu rentres après plusieurs jours d'aventure ?
Dans l'idéal un bon verre d'eau devant un coucher de soleil... dans la vérité... une bonne fondue à la fourme d'Ambert!
Quel est ton modèle/ton inspiration dans la vie ?
Les gens vrais qu'ils soient des explorateurs, alpinistes ou maîtres spirituels. Ceux qui témoignent simplement sans avoir besoin d'en rajouter car leur égo n'est plus dans la balance.
Si tu étais une ville, un animal ou un monument, lequel serais-tu ?
Un "animal", j'aime bien l'être humanoïde de l'Hindu Kush présent mais insaisissable, reliques probables d'hommes préhistoriques qui observent cette humanité perdue dans sa rupture de lien avec la nature. Ils l'appellent le Barmanou.
Un monument, un cairn ou un chörten perdu au fin fond des hauts plateaux.
Un monument, un cairn ou un chörten perdu au fin fond des hauts plateaux.